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la fée
13/07/2006 02:23
La Fée Des Abîmes.
Serait ce un vil cauchemar ? Vais je me réveiller dans l'absolu cafard ? La vie me serait elle devenue avare ? Ne pourrais je garder un doux espoir ?
Ne me coupe pas les ailes, Ô vie si souvent cruelle, Ne déverse pas sur mon être ton fiel, Plutôt le plus doux de tes miels.
J'ai encore tant d'amour à donner, Mes rêves ne sont pas abandonnés, Mon coeur las ne veux pas faner. La renaissance il veut sans se damner.
Ô frêle corps ne m'abandonne pas !
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la vie
12/07/2006 03:07
Au debut c'etais juste pour rigoler Quelques cicatrice qui allais partir Ne voyant pas le drame arriver Elle continuais a evacuer sa peine
Une lame, un rasoir Cela lui suffisais pour se faire saigner Au debut c'etais tres leger Cela lui faisait un bien fou
Puis cela c'est agraver Pour evacuer toute sa peine elle devait y aller plus fort Toucher d'avantage la mort
elle etait seule dans sa baignoir elle a pris un rasoir Avec beaucoup de courage elle c'est lancer Pousser par la peine elle l'a fait
Le sang coulais a flot Sa veine devais etre touchée Sa peine etais parti Cela lui fais un bien fou
Elle commence a y voir trouble Ca y est elle y es arrivée elle a enfin pris la fin Quelques larme tombe
Sur une marre de sang La voila allonger SOn sang continuais de couler Elle s'endors pour ne plus jamais se reveiller
Juste UN mort a dire : ADIEU
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poéme
12/07/2006 03:01
Déclaration
Au bout d’un an, je souhaite toujours ton retour, Pour revivre à chaque instant, cet amour. Même si cette cruelle souffrance nous a séparés, Ce n’est rien face au bonheur que tu m’as procuré.
Je vis constamment amputer d’une partie de moi, Comme un prêtre qui aurait perdu sa foi. Tu étais pour moi, mon amie, mon amante, Ma moitié, ma femme, ma confidente.
Je sais que je ne suis plus grand-chose pour toi, Que tu as trouvé surement en ton sein, ton roi. Je t’avais toujours dis que je n’étais pas irremplaçable. Tu as la chance d’être une perle inestimable.
Dis-toi juste que si le destin, par clémence, Veut m’offrir ainsi une nouvelle romance. Je sais qu’une partie de mon cœur sera infidèle, Car il vit au plus profond de ton être, ma belle.
Je n’ai plus qu’à assumer d’être incomplet, En espérant, que dans l’au delà, je te retrouverai. Sois heureuse, et concrétise ton avenir. Pour finir, je voudrais simplement te dire:
« Si j’étais le vent, je traverserais cette distance Pour t’offrir ainsi une nouvelle danse. J’irais jusqu’à ton oreille pour te susurrer mes sentiments. T’offrir ces doux mots que tu aimais tellement. »
« Si j’étais le feu, je viendrais m’installer Au plus profond de toi, ma tendre aimée. Pour ranimer cette flamme qui nous réchauffait, Te redonner cette énergie qui nous animait. »
« Si j’étais une alliance, je me mettrais à ton doigt, Pour unir notre couple, dans le bonheur et la joie. Je serais à jamais ton plus précieux bijou, Que tu protégerais envers et contre tout. »
« Si j’étais le temps, je reviendrais dans le passé, Pour revivre à nouveau cette tendre épopée. Puis j’irais dans le futur, pour admirer ce moment De vivre avec sa femme, marquée par le temps. »
« Si j’étais un vêtement, je voudrais que tu me portes, Pour épouser tes formes, sentir la douceur que tu apportes. Je voudrais m’imprégner éternellement de ton odeur, Pour garder un souvenir au plus profond de mon cœur."
« Si j’étais une étoile, je me logerais dans tes yeux. Pour rester jusqu’à la fin un éternel amoureux. Tu m’avais offert des millions de couleurs Que je n’avais trouvé nulle part ailleurs. »
Ce n’est sûrement pas la plus belle déclaration, Mais je te l’écris, en le faisant, avec passion. J’imagine que ce poème n’arrivera jamais jusqu'à toi. Je l’ai fais, sans vraiment savoir pourquoi…
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c moi
10/07/2006 03:46
c moi sous une pontau bord d'une petite riviere
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tarik
10/07/2006 03:42
c moi ds ma ville taza
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